Récréation dans un jardin secret...
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Posted:May 1, 2014 5:38 pm
Last Updated:Nov 7, 2021 4:34 pm
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Je suis un homme en couple, métis dans la quarantaine. La pratique régulière d’un sport m’a permis de conserver un corps d’athlète. C’est la fin de l’automne et je passe quelques jours seul en Normandie, au bord de la mer. La maison voisine est un gîte régulièrement loué à des vacanciers différents. Le lendemain de mon arrivée, après une nuit d’averses, je profite du retour du soleil pour passer du temps à l’extérieur. Les estivants ont quitté les lieux depuis plus d’un mois et la vie du village est de nouveau au ralenti. Mon attention est attirée par une voiture, avec deux femmes à bord, qui se gare dans le parking de la rue. L’une des femmes est très âgée et la conductrice fait le tour de la voiture pour l’aider à sortir. J’observe la scène, la matinée s’est suffisamment réchauffée et la plus jeune est vêtue d’une robe légère dans laquelle une petite brise s’amuse à dévoiler par moment des jambes nues potelées et énergiques. Elles ont fait des courses et sont très chargées, la conductrice semble se résoudre à faire plusieurs voyages vers ce qui pourrait être la maison mitoyenne. Je me décide à leur proposer mon aide.
- Bonjour mesdames, puis-je vous aider à porter ces sacs ?
- Bonjour, c’est très aimable à vous monsieur, ma mère et moi êtions bien embarrassées.
- Le village est presque désert en ce moment, il est d’autant plus important de s’entraider.
- Merci, je vous ai vu sortir du jardin voisin du nôtre, nous sommes vos voisines pour quelques jours.
- Voilà, vous y êtes !
- Merci encore, vous entrerez bien quelques instants ?
J’accepte volontiers, et cela d’autant plus que je sens un courant de sympathie partagé avec ces femmes et avec la plus jeune en particulier. Elle me dit s’appeler Maud et sa mère Ginette. Elles viennent des Yvelines. Depuis quelques années Maud a instauré la tradition de partir une quinzaine de jours en tête à tête avec sa mère, en abandonnant mari et enfants. Maud est une belle femme blonde dans la quarantaine, de stature moyenne. Les années ont agrémenté sa taille de quelques bourrelets et ses yeux bleus rieurs trahissent une personnalité enjouée à l’esprit vif. Ginette propose de m’inviter à déjeuner et sa fille appuie l’invitation avec chaleur.
A l’heure dite je me présente à la porte de mes voisines avec une bouteille de champagne. Le repas se déroule dans une ambiance détendue et nous apprenons à mieux nous connaître. Ginette, s’excuse rapidement pour sacrifier à sa sieste quotidienne que l’alcool a rendu encore plus nécessaire que d’habitude. Maud m’offre un café et s’intéresse à ma maison, je lui propose de la visiter. Elle semble excitée en franchissant le seuil. Je lui indique que de la grande pièce du deuxième étage on a une belle vue de la mer. Je m’efface pour la laisser s’engager dans l’escalier devant moi. déhanchement souple met en valeur une croupe pleine et ferme dont elle joue, elle sait que je profite du spectacle. Dans sa cuisine, tout à l’heure, elle a surpris mon regard captivé par ses belles jambes. Elle a souri en se pinçant les lèvres. Ses tongues noires claquent sur le bois des marches, contrastant avec la peau laiteuse de ses pieds nus. Ses pieds sont parfaits avec des orteils déliés aux ongles non vernis.
Elle arrive dans la grande chambre du haut et remplit la pièce de sa présence. Elle contourne le lit et admire la paysage de la baie vitrée. Nous restons silencieux. Elle se déplace légèrement pour mieux voir, et se trouve tout contre moi, ses cheveux blonds devant mon visage, me remplissant de parfum d’abord léger, je décèle dessous odeur capiteuse, excitante. Sa croupe me frôle, mon sexe réagit immédiatement… Elle reste…accentue légèrement la pression, sans se retourner. Mes mains sur sa taille…je suis collé à elle… mes doigts remontent le long de sa taille et se referment en coupe sur ses seins lourds, nus sous la robe…en les massant doucement. Je sens ses mamelons durcir à travers le tissu. Elle penche la tête sur épaule…elle a fermé les yeux, absorbée par mes caresses…mes lèvres effleurent la peau douce et satinée de cou…mes baisers se précisent…elle ronronne de plaisir. Bientôt je m’enhardis…mes mains redescendent vers ventre en soulevant sa robe… mes doigts se glissent sous la dentelle de slip… sa toison est soyeuse et rare…je la caresse…elle se cabre contre moi quand mon index trouve bouton de rose…entre ses pétales humides…je sens l’humidité de excitation sur mes doigts…elle gémit doucement alors que deux doigts enserrent en tenaille clitoris en le torturant doucement…un troisième le branlant en rythme…Sa bouche s’entrouvre sur un râle discontinu…je lui donne du plaisir... Dans un mouvement brusque sa main se crispe sur la mienne en la pressant contre ventre alors que bassin se creuse dans un orgasme violent. Sa jouissance, longue, coule entre mes doigts en trempant la dentelle de slip. Je la garde dans mes bras, le temps que l’orage passe. Elle s’assoit sur le lit pour reprendre ses esprits. Je m’agenouille devant elle, nous nous regardons en souriant, comme des écoliers coupables d’école buissonnière. Je caresse ses genoux…puis ses cuisses pleines, appétissantes…elle se laisse faire lorsque je retire slip mouillé pour admirer le coquillage rose de sexe entre ouvert…ma bouche est attirée…ma langue écarte ses lèvres…trouve bourgeon …le lèche…l’aspire…recommence à le torturer…il est devenu si sensible qu’elle halète…pousse de petits cris …ses doigts crispés sur ma tête…un nouvel orgasme plus fort l’emporte…je reste collé à elle, bois à sa source…elle se calme…elle se redresse… m’essuie d’un bout de drap et m’embrasse…notre baiser est interminable, sa langue chaude m’envahit, elle se fait dévoreuse…
Mon envie d’elle est encore plus forte…Maud me regarde, et l’air soudain grave, commence à me déboutonner. Je l’aide et suis bientôt nu devant elle. Ses mains caressent mon visage, mon torse, mes bras, mes cuisses…elle regarde un long moment mon sexe tendu vers elle et dépose un baiser sur gland dodu…sa main caresse…palpe…soupèse…ses doigts se referment sur la colonne de chair… nous observons tous les deux le contraste de ses doigts laiteux sur mon sexe brun…elle serre un peu plus, ce qui fait gonfler encore mon gland … sa langue le taquine…ses lèvres l’absorbent…sa bouche s’anime sur mon sexe…elle joue…je contemple ses formes superbes…mon excitation est plus forte … elle fait un petit « ..hmmm .. » approbateur.. sa robe la gêne...je l’aide à l’ôter…ma bouche se referme sur un mamelon rose foncé…qui darde sous l’excitation. Sans un mot, Maud s’allonge en écartant les cuisses, relevées vers sa poitrine…et s’empare de mon sexe…elle se caresse avec le gland turgescent…le lubrifie avec sa rosée…il semble énorme là, à l’entrée de sa fleur épanouie, mais Maud l’a domestiqué. Sa main le guide en elle, doucement, progressivement…elle contrôle la longueur de la pénétration…joue des hanches les yeux mi-clos…concentrée sur plaisir. Je suis penché sur elle, je m’adapte à rythme…elle est étroite…ma pénétration est lente…d’abord peu profonde… le va et vient se fait plus régulier… sa grotte d’amour s’ouvre…je progresse en elle…ses jambes se referment sur mes hanches…ses ongles s’enfoncent dans mes fesses pour me posséder complètement…je la pénètre encore et encore…un cri rauque s’échappe de sa gorge. Le sexe de Maud est un volcan en fusion que ma colonne de chair alimente. Maud en veut plus, je roule sur moi-même, elle est au-dessus de moi, sa chevelure blonde devant mes yeux, visage absorbé par le feu qui l’embrase…ses hanches roulent dans un rythme endiablé…mes mains enserrent ses seins lourds…ses mamelons ressortent, tendus…ma bouche s’en empare…les lèche…les mordille…les aspire…elle gémit … ses muscles intimes se contractent...elle crie…l’orgasme intense qui la submerge la paralyse…elle retombe sur moi…essoufflée…je la caresse, mon sexe tendu, énorme, toujours prisonnier de intimité humide…
Quelques minutes ont passé. Nous échangeons un baiser plein de tendresse…mon sexe reprend un lent mouvement en elle…un bruit. On frappe à la porte d’entrée, au rez-de-chaussée. C’est Ginette, la mère. Il est déjà 16h, sa sieste est terminée et elle cherche sa fille. D’un mouvement vif, Maud s’arrache à mon sexe et enfile sa robe. Je lui propose d’inviter sa mère à entrer et pendant qu’elle descend, je me dépêche de m’habiller et refaire le lit. Ginette semble croire que sa fille a répondu à une invitation sans caractère particulier et se prête à cette visite avec beaucoup de civilité.
Bien plus tard, au cœur de la nuit, Maud a poussé ma porte ouverte pour venir assouvir ses envies et notre passion clandestine a duré toute la semaine. Aujourd’hui je garde un souvenir ému de nos étreintes passionnées et de corps de fleur épanouie. Maud lira peut-être ces lignes, elles lui sont dédiées, ainsi qu’à toutes les « Maud » d’NoStrings.
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